Diogène —
C’est le journal en vers auquel est consacrée la notice qui précède. Il
portait pour épigraphe : Je suis cynique, moi !
—
Provins, Paris, 18331833, 9 numéros de 16 pages
in-4º chacun.
Cette publication ne figure pas au67 Journal de l’Imprimerie et de la Librairie de Beuchot et Pillet aîné, pour l’année 18331833.
Le Myosotis, petits contes et petits vers. Paris, Desessarts, rue des Beaux-Arts, 15 ; 18381838, in-8º de 20 feuilles. Prix, 7 fr. 50 c.
C’est l’édition princeps donnée par l’auteur quelques mois avant sa mort.
Dès 18361836, Moreau parlait d’un recueil de vers prêt à être imprimé : « J’avais trouvé un éditeur, dit-il dans une lettre, je crois cette affaire manquée, j’en ai un regret, mon premier livre sera un roman. »
Il se trompait. Moreau a-t-il d’ailleurs écrit un roman ?
Un de ses anciens condisciples du séminaire1, qui appréciait son talent et connaissait sa détresse, s’entendit avec l’éditeur Desessarts en 18371837, et détermina le poète à réunir un certain nombre de pièces qu’il avait semées çà et là, de façon à composer un volume dont le titre devait être : Confessions poétiques. Ce titre fut changé. On mit pour condition à l’impression, aux frais de Desessarts, de retrancher du manuscrit tout ce qui touchait à la politique ; d’autres pièces, fort innocentes, durent être supprimées sous prétexte de morale. L’auteur opposa bien quelque résistance, car c’était dépouiller l’œuvre d’une partie de son parfum et il s’en rendait compte :69 « Ce livre est mauvais, écrit-il alors, très mauvais, mal fait, très mal fait : sa publication ne peut que me nuire et, si elle a lieu, ce n’est pas ma faute. »
Mais on lui donnait 100 francs de droits d’auteur, plus 80 exemplaires non brochés…
Le volume fut imprimé chez Béthune, au commencement de l’année 18381838 et annoncé par le Journal de l’Imprimerie et de la Librairie dans le numéro du 10 mars.
La publication ne nuit point à la réputation de Moreau ; au contraire, la presse parisienne accueillit le livre avec faveur, et l’auteur se montra sensible aux applaudissements de critiques littéraires qui, sauf Berthaud, lui étaient inconnus.
Ce fut comme un rayon de gloire qui se levait pour lui, — au moment où il70 entrait à l’hôpital de la Charité pour n’en plus sortir !
De 18301830 à 18381838, Hégésippe Moreau avait composé d’autres poésies, de petites nouvelles et des contes en prose, insérés dans Psyché, le Petit Courrier des dames, le Journal des demoiselles, le Charivari, la Revue poétique, etc. Nous l’avons dit, la plupart de ces articles ne sont pas signés, et il est difficile de les retrouver dans les journaux auxquels il collaborait d’autant plus irrégulièrement qu’on le payait fort mal. C’est de là cependant qu’ont été extraits les contes charmants intitulés le Gui de chêneImprimé d’abord au mois d’1836-08août 1836, sous le titre de Macaria ou les Héraclides, dans le Journal des demoiselles., la Souris blanche1837-01Janvier 1837., les Petits Souliers1836-04Avril 1836., Thé-}71rèseThérèse SureauAvait paru dans la Psyché le 1837-01-055 janvier 1837, sous le titre : La dixième Muse., le Neveu de la fruitièreJournal des enfants, 18361836 — Le Neveu de la fruitière et la Souris blanche se retrouvent dans la Fleur des nouvelles ; Paris, Passard, 18541854, 1 vol. in-32., qui figurent dans le Myosotis (édition de 18401840).
Signalons tout de suite quelques autres productions de Moreau, qu’on a pu retrouver dans ces journaux de 18361836.
Armand Lebailly a donné en 18631863, dans son petit volume d’Œuvres inédites du poète, quatre articles en prose :
Une femme sensible (extrait de Psyché, 1836-02-044 février 1836).
La Dame de cœur, qui avait été imprimée dans le Petit courrier des dames, du 1836-09-2020 septembre 1836, avec ce sous-titre : Extrait des confessions d’un vieil enfant, ouvrage inédit. — La Feuille de72 Provins avait déjà reproduit cette nouvelle, d’après une copie que possédait un ami de l’auteur.
M. Scribe à l’Académie, article écrit, dit-on, dans une crèmerie de la rue des Saints-Pères et publié le 1836-01-2828 janvier 1836 par le journal Psyché.
Jeanne d’Arc, étude historique composée pour le Journal des demoiselles, qui l’a insérée le 1836-05-1515 mai 1836.
Armand Lebailly a publié encore quelques lettres inédites d’Hégésippe Moreau, son épître À l’auteur de Chatterton (1835-05mai 1835), et deux poésies de jeunesse sur la maladie et la mort de M. Sassinot, directeur du petit séminaire de Meaux (18221822). Il a cru reconnaître la manière de l’auteur du Gui du chêne dans deux autres nouvelles non signées, imprimées dès 18301830 par le Petit Courrier des73 dames : Un dîner chez Véry et Un jeune homme à marier ; cependant il n’a pas cru devoir les rééditer.
Enfin, trois poésies, dont une seulement a pris place dans les éditions du Myosotis, avaient paru au mois de 1839-01janvier 1839 dans le Journal de Seine-et-Marne, publié à Meaux ; ce sont les épîtres au général Lafayette, à Didot et à l’académicien P. Lebrun.
Le Myosotis, nouvelle édition augmentée du Diogène et de pièces posthumes inédites, et précédée d’une notice biographique par Sainte-Marie Marcotte. Paris, Paul Masgana, 18401840, in-12.
Cette édition, réimprimée douze fois de 18401840 à 18601860, l’a été encore plusieurs fois depuis, sans parler des 17 contrefaçons du Myosotis à Bruxelles, pendant la même période.74
Le Myosotis. Paris, Charpentier, 18481848, 1 vol. in-18 anglais. (Bibliothèque Charpentier.)
Contes à ma Sœur, par Hégésippe Moreau, nouvelle édition, avec une introduction par Octave Lacroix. Paris, Masgana, 18511851, grand in-18 de deux feuilles un neuvième. — Imprimerie Claye. Prix, 1 franc.
Le Myosotis, avec notice biographique par Sainte-Marie Marcotte. Paris, imprimerie Claye, librairie Masgana, 18571857. Édition diamant en deux volumes in-32 de xxxix-280 pages.
Le Myosotis, 4e éditionDès 18461846, Masgana, avait cependant fait paraître le Myosotis en 2 vol. in-32 jésus, avec la mention 5e édition., précédée d’une notice biographique par M. Sainte-Marie Marcotte, augmentée75 d’un portrait littéraire par M. Sainte-Beuve, de l’Académie française, et d’œuvres posthumes (poésies et lettres) recueillies et mises en ordre par M. Octave Lacroix. Paris, imprimerie Claye ; librairie Masgana, 18571857, 1 vol. in-18 jésus, de lvi-240 pages.
Le Myosotis, suivi de la biographie des auteurs morts de faim. Paris, Passard, petit in-32.
Œuvres complètes d’Hégésippe Moreau ; nouvelle édition, avec notice biographique et littéraire par M. Louis Ratisbonne. Paris, Michel Lévy, 18611861, in-18 anglais de xii-280 pages. (Collection Lévy, à 1 franc le volume.) A été réimprimé.
Œuvres inédites d’Hégésippe Moreau, avec introduction et notes par Armand Lebailly. Paris, Bachelin-Deflorenne, 18631863, in-16.76
Œuvres d’Hégésippe Moreau, nouvelle édition, précédée d’une notice littéraire de M. Sainte-Beuve, de l’Académie française. Paris, imprimerie Blot, librairie Garnier frères, 18631863, 1 vol. in-18 jésus de 323 pages.
Œuvres complètes, souvenir d’un ami de Moreau, par Vallery-Radot, bibloth. au Louvre. Paris, Passard, 18641864, in-32.
Une édition définitive, qui devait comprendre des pièces restées inconnues, avait été projetée par M. Alphonse Fourtier, Provinois lettré et érudit ; mais ce n’a été qu’un projet.
Le 1872-02-1712 février 1872, M. Fourtier m’écrivait : « Je recherche tout ce qu’a signé le poète de Voulzie, avec la pensée de donner une édition plus complète que toutes celles parues jusqu’à ce jour… 77 J’ai vécu dans l’intimité de Moreau à Provins et à Paris, et beaucoup de ses pièces n’ont été connues que par moi, qui les écrivais sous sa dictée. Il détestait tenir une plume, et il lui était donné de pouvoir composer un numéro entier de son Diogène sans en écrire un seul vers… »
M. Fourtier est décédé payeur central du Trésor, à Paris, au mois de 1875-03mars 1875.
Il se proposait notamment de faire connaître Moreau auteur dramatique ; c’est là, en effet, un aspect nouveau sous lequel on ne l’a pas étudié.
Dès 18291829, Moreau parle, dans sa
correspondance, d’un drame auquel il travaille, drame qu’il veut
remplir de douleur et de passion
, mais dont on ne retrouve trace nulle
part. Le 30 juin il écrit à Madame Favier :
« J’ai com-78posécomposé plusieurs
petites pièces, dont l’une est en répétion. Si les autres ont le même
sort, comme je l’espère, il me sera bien facile de pourvoir à tous mes
besoins.» À vingt ans, le poète avait composé, avec un de ses amis, un
vaudeville intitulé le Collaborateur,
qu’ils firent admettre par le directeur d’une scène secondaire. Ce
vaudeville, après avoir longtemps dormi dans les cartons, fut représenté un
beau soir, sans que Moreau ni son ami en eussent été avertis ; sur
l’affiche du lendemain, leurs noms figuraient, mais aussi les noms de
trois collaborateurs qui leur étaient absolument inconnus. Ils protestèrent et
la pièce disparut de l’affiche ; elle n’a pas été
imprimée.
J’ai dit ailleurs qu’il faisait jouer à Provins, le 1833-04-033 avril 1833, une petite comédie : l’Amour à la hussarde.79
On sait qu’il lui revient une part de collaboration dans Clément Marot à Genève, représenté en 18381838 sous le nom de J. E. Arago, et qu’une autre fois Eugène Scribe lui refusa son concours pour une comédie à laquelle il restait à mettre la dernière main.
Enfin, on lui attribue à tort ou à raison certaines des scènes de l’École des Princes, comédie en cinq actes, en vers, jouée sans succès à l’Odéon le 1843-11-2929 novembre 1843, sous le nom de Louis Lefèvre.
Dans les dernières années de sa courte carrière, Hégésippe Moreau a produit pour être gravées avec la musique plusieurs romances et barcarolles. Une lettre qu’il adressait, le 1836-12-2828 décembre 1836, à Mademoiselle Lebeau contient cette phrase : « Je crois vous avoir dit qu’une80 dame a fait la musique de deux romances que je lui avais récitées. En voici les paroles, en attendant la gravure. » Il copie ensuite la pièce À mon âme, qui figure dans ses œuvres avec certaines variantes, et il termine ainsi sa lettre : « L’espace ne m’ayant pas permis que d’en transcrire une, à une autre fois la seconde. »
Au mois de décembre 18391839, — un an après sa mort —, parut : « Pauvre poète ! paroles de feu Hégésippe Moreau – musique de V. Castelli. À Paris, rue Jean-Jacques Rousseau, nº 3. »
En 18401840 Alfred Boull composait un air sur les paroles de Pauvre Gilbert (chez Delamarre, éditeur, rue Neuve-Vivienne, 48) ; en 18531853 on gravait les Cloches, puis la Fermière, musique de Darcier ; puis en 18571857, c’était le tour de sa81 romance Si vous m’aimiez, dont G. Alary venait d’écrire la musique (Paris, G. Flaxland, édit.), et de l’Île des Bossus, chansonnette, musique de J. Vanghelve (Heugel, édit.).
Une autre de ses poésies : Les Ruines de Provins, a été mise en musique par Gariel ; on en a fait un chœur pour les sociétés orphéoniques.
Berthaud. — Note insérée dans le National, 1838-12décembre 1838.
Chardon (Félix), bibliothécaire de Provins. — Hégésippe Moreau (Journal82 de Seine-et-Marne publié à Meaux, 1839-01-1212 janvier 1839).
Pyat (Félix). — Article dans la Revue du Progrès du 1839-01-1515 janvier 1839.
Opoix (Armand-Christ.). —- Poésie (Journal de Seine-et-Marne, 1839-02-099 février 1839).
N… —- Feuilleton de la Gazette de France, du 1839-07-1515 juillet 1839.
Dessalles-Régis. — Poètes et romanciers modernes de la France ; Hégésippe Moreau (Revue des Deux Mondes, numéro du 1840-02-011er février 1840).
Sainte-Marie-Marcotte. — Notice biographique sur Hégésippe Moreau, en tête du Myosotis ; Paris, Paul Masgana, 18401840, in-12. — Plusieurs autres éditions sont précédées de la même notice et d’un portrait littéraire par Sainte-Beuve.
Biographie Michaud, Supplément — Article consacré à Moreau.83
Farrys (O.). — Dictionnaire de la conversation, art. Moreau.
Pichat (Laurent). — Les poètsepoètes dude combat.
Bourquelot (F.) et Alf. Maury. — La littérature française contemporaine, t. V, p. 460.
Bourquelot (F.). — Histoire de Provins. Provins et Paris, 18401840, in-8º ; 2e volume, p. 361.
Magu, tisserand à Lizy-sur-Ourcq. — Poésies nouvelles. Paris, Delloye, 18421842, 1 volume in-12. Couplets sur la mort d’Hégésippe Moreau, p. 59.
Opoix. — Histoire de Provins, 2e édition. Provins, Lebeau, 18461846, in-8º, p. 364–369.
Vallery-Radot. — Article dans la Revue hebdomadaire, 18511851, in-8º.
Sainte-Beuve. — Articles dans le84 Constitutionnel, des 1851-04-2121 et 1851-04-2222 avril 1851. — Œuvres de Sainte-Beuve, Causeries du lundi, t. IV. — Portrait littéraire de Moreau, dans plusieurs éditions du Myosotis, 18511851, 18571857, 18631863.
Angebert (Madame Caroline). — Hégésippe Moreau (Feuille de Provins, 1851-06-077 juin 1851). Tirage à part.
Dupont (Pierre). — Hégésippe Moreau, chant inédit, formant une livraison des Chants nouveaux et chansons nouvelles de P. Dupont. Paris, chez l’éditeur, rue de l’École-de-Médecine, 58, petit in-8º (18521852), avec la musique gravée et un portrait de Moreau. — Sur la couverture de cette livraison, est annoncée une souscription pour élever un monument sur la tombe du poète, au cimetière MontparnasseEn 18401840, Sainte-Marie Marcotte avait obtenu85 à ses frais la concession du terrain où reposenreposent encore les restes de son ami..85
Une commission fut constituée, et parmi les premiers souscripteurs figurèrent Béranger, P. Lebrun, Pierre Leroux, Lachambeaudie, Pierre Dupont (dont le père était aussi de Provins), P. Vinçard, Louise Colet, etc.
Ce projet, comme tant d’autres, n’aboutit pas.
Girard (Fulgence). — Préface du Myosotis illustré, édition populaire. Paris, Bry, 18521852, in-4º.
Houssaye (Arsène). — Le quarante et unième fauteuil de l’Académie française, nouvelle édition. Paris, Hachette, 18561856, in-18 anglais, p. 294-296.
Wailly (Léon de). — Article publié dans l’Illustration, 18591859.86
De Pène (Henri). — Article publié dans le Nord, 1860-04-022 avril 1860.
A. L. — Causerie sur Hégésippe Moreau (Feuille de Provins, 1861-09septembre 1861).
Ratisbonne (Louis). — Notice biographique et littéraire, en tête des œuvres complètes d’Hégésippe Moreau. Paris, Michel Lévy, 18611861, in-18 anglais. — M. Ratisbonne a également signé l’article consacré à Moreau dans la Biographie universelle de Didot.
Fourtier (Alphonse). — Une chanson d’Hégésippe Moreau (Feuille de Provins du 1862-10-1111 octobre 1862). La lettre d’envoi seule a été publiée, et non les quatre couplets qui l’accompagnaient et qui sont restés inédits ; c’était une chanson politique à propos de M. Thiers, candidat à la députation dans le 5e arrondissement87 de Paris au commencement du règne de Louis-Philippe.
Lebailly (Armand). — Hégésippe Moreau, sa vie et ses œuvres ; documents inédits. Paris, Bachelin-Deflorenne, 18631863 ; 1 vol. in-16, avec un portrait de Moreau, eau-forte de G. Staal. — 2e édition, 18641864, in-16 (Collection du Bibliophile français).
Lebailly (Armand). — Œuvres inédites d’Hégésippe Moreau, avec introduction et notes. Paris, Bachelin-Deflorenne, 18631863 ; in-16, portrait à l’eau-forte de mademoiselle Louise Lebeau, par G. Staal. — 2e édition, 18671867 (Collection du Bibliophile français).
Ulbach (Louis). — Article publié dans le Temps du 1863-04-2727 avril 1863.
Texier (Edmond). — Article dans le Siècle, 1863-04-2727 avril 1863.88
Feyrnet (Xavier). — Article dans l’Illustration du 1863-05-022 mai 1863.
Second (Albéric). — Article dans l’Univers illustré du 1863-05-077 mai 1863.
Vallery-Radot. — Souvenir d’un ami de Moreau (Œuvres complètres d’Hégésippe Moreau. Paris, Passard, 18641864, in-32). — En 18771877, M. René Vallery-Radot, fils, a réuni en un volume divers écrits de son père sous le titre de Souvenirs littéraires ; un chapitre de ce livre imprimé chez Chamerot et destiné exclusivement aux amis de l’auteur, est consacré à Hégésippe Moreau.
Comte B. d’Harcourt. — Hégésippe Moreau, discours prononcé à Provins (Bulletin de la Société d’archéologie, sciences, lettres et arts de Seine-et-Marne, 2e année, 18651865 ; Meaux, Carro, grand in-8º, page 20-25).89
A. B. — Hégésippe Moreau et la Voulzie, poésie (Journal de l’arrondissement de Provins, 1868-09-2727 septembre 1868).
Fourtier (Alphonse). — Provins lettré. Provins, Lebeau, 18691869, in-8º, p. 87. — 2e édition, Provins, 18801880.
L. Miquel. — À Hégésippe Moreau, poésie (Journal de l’arrondissement de Provins, 1870-05mai 1870).
J. M. — Hégésippe Moreau, sa mort, ses funérailles, sa tombe (Feuille de Provins, 1871-07-088 juillet 1871). Il y a eu un tirage en brochure, signé Jules Moret. Provins, Lebeau, 18711871, in-8º de 16 pages.
Pesch (Édouard). — Notice sur Hégésippe Moreau.
Papp (E.) père, de Provins. — Lettre relative au projet de translation dans cette ville de la sépulture d’Hégésippe Moreau (Feuille de Provins, 1871-07-2626 juillet 1871).90
Fourtier (Alphonse). — Une lecture du Myosotis (Feuille de Provins, 1871-08-1212 août 1871).
Bazin (E.). — Hégésippe Moreau ; deux feuilletons du Journal de l’arrondissement de Provins, 1874-11novembre 1874.
Biographies, études…;