Certaines des vignettes ci-dessous sont cliquables, elles donnent alors accès à une version plus grande de l’image.
Ce portrait était présenté comme celui de Hégésippe Moreau sur un site consacré à Georges Brassens qui a mis en musique Sur la mort d’une cousine de sept ans. Ce site est inaccessible suite à la fermeture, le 6 juillet 2009, de CompuServe OurWorld. Cette illustration semble être celle que l’on trouve en couverture du livre de Georges Benoit-Guyod, La vie maudite d’Hégésippe Moreau. Pas plus cette image que celle sensée représenter Hégésippe Moreau sur son lit de mort, en frontispice de l’ouvrage, n’est attribuée à qui que ce soit. |
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Celui-là est proposé par le site de la Bibliothèque de Lisieux sur leur page « Le Rayon littéraire ». |
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Ce portrait provient de la page intitulée Les auteurs du Charivari sur le site du « Centre d’études du xixe siècle français Joseph Sablé », Université de Toronto, Ontario, Canada. Contrairement à ce qu’annonce ce site, Hégésippe Moreau n’a, bien entendu, jamais fondé la Némésis. Voir en coulisse pour quelques remarques. Il fait face à la page de garde de l’édition des œuvres complètes préparée par René Vallery-Radot et publiée par Alphonse Lemerre en 1890. |
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Cette fois c’est sur un site consacré à Alexandre Dumas
père que j’ai trouvé cette image. On se rend compte que
le Alexandre Dumas père est l’auteur de Les morts vont vite dont un chapitre est consacré à Hégésippe Moreau. |
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J’ai extrait ce portrait de la gravure à l’eau forte de G. Staal qui se trouve en frontispice de Hégésippe Moreau, sa vie et ses œuvres de Armand Lebailly qui le présente comme réalisé par le graveur d’après le masque mortuaire de Hégésippe Moreau. |
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Gravure placée en regard de la première page de
la chanson, intitulée |
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Eau forte de Félix Regamey conservée au Musée national du Chateau de Compiègne, voir la page. |
On peut lire ici ce qu’écrivait Th. Lhuillier dans Hégésippe Moreau et son Diogène à propos des portraits de Hégésippe Moreau.
On trouve deux portraits d’Hégésippe Moreau reproduits dans le 1er tome de l’ouvrage d’Octave Vignon « Hégésippe Moreau, Sa vie — Son œuvre ». M. O. Vignon les présente ainsi :
Portraits d’Hégésippe Moreau d’après les médaillons ayant
appartenu à Louise Lebeau. Ce sont les seuls portraits exécutés du vivant de
Moreau. Le premier, une miniature à l’huile, (le) représente […] à
seize ans, lorsqu’il entra, en 1826, comme apprenti typographe, dans la
Maison Lebeau. Le second, une gouache, […] représente Moreau à
vingt-trois ans. Ces médaillons sont le texte date de
1966 conservés dans la collection Rogeron, propriété de
M. Deloutre, de Fontenay-sous-Bois.