Hégésippe Moreau
1810 — 1838
Je ne reprends ici, de la thèse de Mme De La Mata, que le troisième chapitre qui traite d’Hégésippe Moreau. C’est avec son aimable autorisation que je le fais. Qu’elle en soit, ici, chaleureusement remerciée.
Une enfance provinoise, avec des malheurs et des protecteurs
Paris : un poète révolutionnaire, miséreux et, dit-on, débauché
Le retour dans l’enfer parisien ; l’écriture et les fréquentations
Gilbert dans l’œuvre d’Hégésippe Moreau : un Souvenir à l’hôpital