J’ai suivi ici, pour l’orthographe et la ponctuation, les Œuvres complètes de Hégésippe Moreau, Nouvelle Édition Précédée d’une notice littéraire par M. Sainte-Beuve de l’Académie Française. Le Myosotis ; Poésies diverses ; Contes en prose. Ouvrage paru à Paris, chez Garnier Frères, Libraires-Éditeurs, 6, rue des Saints-Pères, en 1864, 1870 et 1881 (au moins).
J’ai utilisé comme source l’exemplaire numérisé en mode image disponible sur Gallica dont on peut voir ici la page de garde. Cet exemplaire étant incomplet, j’ai recopié le poème Dix-huit ans d’après les pages 27 et 28 de l’édition de 1864 du même ouvrage, exemplaire de la bibliothèque de Lille 3, cote 78761. J’utilise, enfin, pour la révision du recueil Le Myosotis un exemplaire personnel de l’édition de 1870 de l’ouvrage ci-dessus cité.
Pour lire les poèmes dans l’ordre des Œuvres complètes (1890), seule édition à porter son titre avec quelques raisons, on pourra se rendre à la table des matières du tome 2 de cet ouvrage.
J’utilise pour base les textes obtenus sur le site de la bibliothèque municipale de Lisieux qui présente Hégésippe Moreau et quelques uns de ses contes avec des textes établis d’après l’édition de la Bibliothèque du bibliophile parue à Lyon en 1920 chez H. Lardanchet. Il s’agit des cinq premiers contes, du Gui de chêne jusqu’au Neveu de la Fruitière, qui composent les Contes à ma Sœur. Je complète avec les contes donnés dans les Œuvres complètes, éditées par R. Vallery-Radot, publiées à Paris par Alphonse Lemerre en 1890. J’en fait la transcription d’après un exemplaire de la bibliothèque de Lille 3 dont on verra ici la page de garde et ici la table des matières du 1er tome.
Je regroupe ici les poèmes d’Hégésippe Moreau qui ne sont
pas repris dans les « œuvres complètes » de 1870 référencées
ci-dessus mais qui sont données dans celles éditées par R. Vallery-Radot
et publiées en 1890. Elles y sont regroupées — sauf la pièce « À
l’auteur de Chatterton » donnée dans
la première partie titrée Le Myosotis —
sous le titre de Premiers vers ; Poésies inédites — poésies
posthumes